par Mistral | Oct 26, 2018 | Actualités
Pour choisir de quoi sera revêtu le sol de sa maison, il convient de réfléchir à l’esthétisme souhaité, à l’utilisation de chaque pièce et à son budget.
Parmi les différents matériaux on retrouve :
Le bois
Le parquet en bois est chaleureux et naturel. C’est aussi l’un des matériaux les plus chers.
Le bois nécessite toujours de l’entretien (environ tous les 3 ans il faudra le revernir ou l’huiler à nouveau).
On pourra choisir entre un parquet massif (composé d’une seule essence de bois) ou un parquet contrecollé (parement massif et partie inférieure dans une essence moins noble, souvent du bouleau). Le parquet massif est cependant déconseillé sur les sols chauffants. En effet, le bois va un peu bouger au fil du temps, principalement s’il est chauffé (risque de dilatation et de changement de couleur) tandis que les différentes épaisseurs du parquet contrecollé le protégeront de ces changements.
Actuellement, le parquet est très souvent choisi en mono-lame extra large (jusqu’à 22cm) ou en aspect brut vieilli.
Le stratifié
Très résistant et offrant un grand choix de finitions, ce revêtement est également l’un des moins onéreux.
Fabriqué à base de poudre de bois compressée à très haute densité, il est ensuite recouvert d’un décor imitant parfaitement le bois, la pierre ou le béton. L’illusion est très réussie que ce soit visuellement, au toucher, ou dans la structure.
Le parquet stratifié attire beaucoup de monde notamment par son coût bien plus abordable que ceux des parquets en bois. Mais avant de se laisser tenter, il convient de prendre en compte ses inconvénients :
- il ne donne pas la sensation de chaleur naturelle qu’offre le bois ;
- il est moins robuste qu’un parquet en bois massif ;
- il ne peut être rénové (un parquet en bois peut être poncé en cas de dégradation ou de salissure importante. Le stratifié devra être complètement changé) ;
- son isolation phonique n’est pas bonne en raison de sa finesse. Ce point peut cependant être résolu en l’isolant avec une sous-couche ;
- il réagit mal à l’humidité, l’eau pouvant s’infiltrer entre les lames et le faire gondoler.
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Parquet en bois
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Parquet stratifié
Le carrelage
Résistant et facile d’entretien, il est adapté à toutes les pièces de la maison. Comme le stratifié, il s’est également beaucoup amélioré côté déco et offre désormais un grand choix de design, également en imitation pierre, bois ou même marbre de manière très réaliste.
Actuellement le carrelage est principalement choisi avec de grands carreaux 60×60 cm voire 90×90 cm. On commence même à le voir en 20×120 cm avec aspect bois pour imiter le parquet.
La moquette
Boudée ces dernières années, la moquette se réinvente avec de nombreuses évolutions techniques qui lui permettent désormais de revenir au goût du jour. Qu’elle soit à base de produits naturels ou synthétiques, elle reste toujours un excellent isolant phonique et thermique qui de plus est très agréable dans un dressing ou une chambre.
Le vinyle
Économique, il imite parfaitement le bois, le marbre, la pierre,… Sa fabrication 100% en PVC lui permet de résister à l’eau et d’être très facile d’entretien. Les sols en vinyle sont donc souvent choisis pour des pièces comme la cuisine ou les salles de bain.
Leur faible épaisseur en fait également le matériau idéal pour les rénovations. Aussi disponibles en rouleaux, les lames ou les dalles à clipser sont généralement de meilleure qualité.
Le linoléum
Souvent confondu avec le vinyle de par leur souplesse identique, le linoléum n’est lui composé que de matières naturelles (huile de lin, craie, résine avec pigments naturels, support en jute, liège,…). Ce matériau est très résistant dans le temps. On le trouve sous forme de dalles, de lames ou en rouleau. Il est reconnaissable à son effet légèrement marbré.
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Vinyle
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Lino
Après cet aperçu des différents matériaux disponibles, comment choisir le bon sol pour la bonne pièce ?
La salle de bain
Pièce humide par défaut, on optera pour un sol très résistant à l’eau. L’indémodable pour cette pièce est bien entendu le carrelage. On le choisira antidérapant comme par exemple un modèle à la surface structurée car comme beaucoup l’ont sans doute déjà expérimenté, carrelage + eau = glissade !
Plus rare, on peut se tourner vers un parquet en bois pour cette pièce. On choisira cependant des essences exotiques telles que le teck qui sont naturellement imputrescibles.
Les sols en vinyle et en lino sont également bien adaptés à cette pièce en raison de leur bonne résistance à l’humidité. On privilégiera cependant les modèles en rouleau pour éviter tout risque d’infiltration.
La cuisine
Pièce humide, elle est également le lieu dans la maison où le sol risque le plus d’être abimé par des objets qui tombent. Il faudra donc choisir un matériau résistant et étanche pour parer à toutes ces éventualités, sans oublier l’aspect esthétique pour ce lieu de vie qu’est la cuisine.
Là aussi, l’habitude est au carrelage. Avec ses nouvelles offres on pourra cependant rendre sa cuisine originale en choisissant des motifs, de la couleur, ou même une imitation bois pour plus de chaleur.
Le vinyle est étanche et peut être facilement et régulièrement nettoyé. Il convient donc très bien aux cuisines si l’on souhaite changer du carrelage. On le choisira cependant avec une bonne épaisseur et une couche de protection pour limiter les chocs.
La pièce à vivre
Lieu de passage et de confort, son sol devra être à la fois résistant et agréable. 
De par son côté chaleureux, le parquet est souvent LE matériau de la pièce à vivre. Si l’on veut qu’il résiste dans le temps et pouvoir le rénover on le choisira en bois massif plutôt qu’en contrecollé.
Pour un budget moins élevé sans renoncer à la chaleur du bois, on opte pour un parquet stratifié. Si on le prend avec une bonne épaisseur il saura être résistant.
Le carrelage a l’avantage d’être résistant et hygiénique pour cette pièce à vivre. Selon sa finition choisie et couplé à un chauffage au sol il peut également être très accueillant.
Enfin, dans cette pièce aussi on peut se tourner vers le vinyle, l’option économique et néanmoins confortable selon le modèle choisi. On fera cependant attention à choisir une gamme plus épaisse afin d’assurer confort et solidité.
Delphine Bec
Sources :
www.cotemaison.fr
par Mistral | Juin 1, 2018 | Actualités
La véranda est aussi appelée jardin d’hiver. Et c’est exactement ce qui la définit : un lien entre l’intérieur et le jardin.
De par sa luminosité et l’agrandissement qu’elle offre à une maison, la véranda est un véritable atout. Il convient cependant de bien réfléchir à certains points avant de se lancer car il n’est pas évident de savoir comment l’aménager ni comment conserver une harmonie avec le reste de la maison…
C’est ainsi qu’on veillera à garder une cohérence entre ce lieu et le reste de la maison de par son aménagement et sa décoration, mais également par quelques parties plus techniques :
Sa forme
- En épi : une seule face est adossée à l’habitation. Cette configuration permet de ne pas modifier la maisons existante et offre une vue imprenable sur l’extérieur.
- En appui : deux faces sont contigües à l’habitation. La véranda peut ainsi habiller un angle rentrant. Dans ce cas de figure, son intégration devra être bien réfléchie.
- Semi-encastrée ou encastrée : la véranda peut déborder d’un décrochement intérieur, s’intégrer entre deux corps de bâtiment en U, être au ras d’un décrochement de mur,… dans certains cas seul son toit sera vitré. Dans cette dernière possibilité, il faudra veiller à ce que l’étanchéité entre l’ossature périphérique de la véranda et les murs et toiture de la villa soit excellente.
Ses matériaux
L’acier ou le fer forgé.
Le premier matériau utilisé pour les vérandas a été délaissé pour son risque de rouille. Il revient cependant grâce aux traitements qui le rendent moins sensible et aux peintures qui lui offrent un aspect satiné ou brillant au choix. Sa bonne résistance et ses possibilités de structures d’incroyable finesse permettent des vérandas au style classique ou moderne aux décorations où toutes les fantaisies sont possibles.
L’aluminium.
Principal matériau utilisé pour les vérandas (environ 90% en sont équipées), il est léger, solide et peut supporter des vitrages de très grandes dimensions. Très résistant, il a une longue durée de vie sans aucun entretien et offre un bon rapport qualité/prix.
Ses choix de couleurs grâce aux techniques de thermolaquage permettent de le personnaliser. Il sera cependant difficile de l’associer avec un bâtiment ancien.
Son inconvénient est son pouvoir conducteur du froid comme du chaud. Désormais, de nombreux fabricants le proposent avec rupture de pont thermique (grâce à des barrettes isolantes placées entre la face interne et externe de chaque profilé afin qu’aucun élément intérieur en aluminium ne soit jamais en contact avec un élément extérieur). Il convient donc de vérifier que c’est le cas de celui que vous choisirez !
Le bois.
Malgré ses nombreuses qualités (naturel, style chaleureux, bon isolant, s’adapte à tous les styles architecturaux,…) il n’est que très peu utilisé (environ 8% des vérandas) peut-être à cause de l’entretien qu’il demande. Il faudra en effet le peindre ou le lasurer à nouveau chaque 3 ans environ.

Ses façades
Les façades des vérandas sont principalement des vitrages faits de double vitrage à isolation thermique renforcée.
Si vous avez des hivers rigoureux ou que votre véranda est exposée principalement au nord, il est indiqué de recourir au triple vitrage. Au contraire, pour une véranda exposée principalement au sud, il est possible de choisir un vitrage à contrôle solaire qui isole en hiver et permet de réduire la chaleur en été, le verre étant revêtu d’une fine couche métallique réfléchissant les rayons du soleil vers l’extérieur. Ce procédé réduit cependant légèrement la luminosité (ce qui peut être un atout si vous souhaitiez réduire également les risques d’éblouissement).
Afin de pouvoir les ouvrir largement durant les beaux jours, on choisira soit des portes repliables, des portes à galandages qui permettent aux panneaux de disparaitre dans une double cloison préservant ainsi toutes les possibilités d’aménagement intérieur, soit des baies vitrées coulissantes afin de ne pas empiéter sur le volume habitable.
Le toit
La toiture est la zone la plus sensible de la véranda car c’est de là que s’échappe une grande partie de la chaleur alors que, paradoxalement, c’est la zone la plus exposée aux rayons du soleil.
Pour la luminosité, optez pour un toit tout en verre avec double-vitrage à isolation renforcée. Il conviendra de penser alors à y installer des volets ou des stores pour éviter que l’effet de serre ne soit trop fort en été. Malgré cela, une toiture entièrement vitrée permet un agréable sentiment d’être à l’extérieur tout en étant à l’intérieur (ou vice-versa !).
L’autre possibilité est de mixer vitrages et panneaux pleins positionnés afin de répartir uniformément la lumière dans la pièce. Cela permet une meilleure isolation, de réduire les rayons solaires et également de faire baisser le coût total (les vitrages étant plus onéreux que les panneaux).
Ces panneaux pleins, appelés panneaux sandwichs, se composent de deux feuilles d’aluminium enserrant une couche d’isolant. Ils existent dans plusieurs coloris et peuvent, côté extérieur, imiter les couvertures en tuile ou en ardoise.
Selon le type d’isolation souhaité, différentes épaisseurs sont proposées.
Reste encore la possibilité de choisir une toiture traditionnelle (tuiles, ardoises,…) reprenant celle de la maison. Cette solution préserve le confort de la véranda et peut faciliter son intégration à l’ensemble.
Depuis quelques années, il y a également des vérandas à toit plat ce qui donne un aspect très contemporain et permet d’avoir la même hauteur sur toute la véranda. Cet aspect pratique et fonctionnel séduit, d’autant plus qu’elle pourra encore être rehaussée par endroit grâce à des dômes vitrés ou des puits de lumière.
Après les parties techniques, revenons à l’aménagement.
Même si un parquet peut être du plus bel effet, il convient de le choisir très résistant. Sinon, bien souvent, on se tournera vers le carrelage qui sera le plus adapté pour faire ce lien entre jardin et intérieur. 
Le mur extérieur restant dans la véranda pourra être conservé tel quel tout en veillant à l’étanchéité. S’il ne présente pas grand intérêt on pourra alors le doubler pour le rendre semblable à un mur d’intérieur.
Enfin, pour meubler, il faudra bien réfléchir à la disposition comme vous ne pourrez rien installer contre les baies vitrées.
Le style devra correspondre à l’ensemble de la véranda, tout en étant en lien avec la maison ; rotin léger, meubles de jardin « chic »,… tout est permis. On privilégiera cependant les meubles bas pour ne pas couper la vue.
Maintenant que l’on a fait le point sur la partie technique et l’aménagement, comment profiter de sa véranda au maximum ?
Tout d’abord, un système de ventilation est indispensable pour éviter condensation et surchauffe. Motorisée ou non, elle doit faire appel à une ou plusieurs arrivées d’air frais en partie basse et à une évacuation de l’air chaud en partie haute.
Pour l’été on pourra la coupler avec une aération via des tabatières en toiture ou des toitures escamotables et des baies ouvrantes ou des fenêtres avec ouvertures oscillo-battantes afin de créer des courants d’air.
On peut également y ajouter des solutions supplémentaires motorisables ou non type volet ou store. Celles placées à l’extérieur sont les plus efficaces car elles interceptent le rayonnement solaire avant qu’il n’atteigne le verre et ne crée l’effet de serre mais elles sont également plus coûteuses.
Les volets roulants
Ils garantissent un confort maximal en renforçant l’isolation en hiver, réduisant le bruit de la pluie et en offrant une protection supplémentaire contre les infractions. Ils peuvent être motorisés voire automatisés et pourront être intégrés directement à la structure de la véranda.
Les stores intérieurs
Plusieurs modèles existent, motorisés ou non. Plus économiques que les solutions extérieures, ils sont également moins efficaces et exigent un espace suffisant entre store et vitrage pour éliminer la chaleur accumulée. Ils peuvent cependant apporter une touche décorative à la véranda grâce à leur choix de couleurs et de motifs.
Enfin, pour en profiter également l’hiver, il conviendra de penser au chauffage.
La première solution est les radiateurs d’appoint. Si vous souhaitez l’utiliser souvent et qu’elle n’est pas exposée plein sud, mieux vaut alors prévoir une extension du chauffage central avec des radiateurs, voire même un plancher chauffant.
Avec cela, fini les vérandas glaciales en hiver et étouffantes les jours ensoleillés !
Delphine Bec
Sources :
https://www.espace-et-lumiere.ch/
http://www.cotemaison.fr
par Mistral | Mai 3, 2018 | Actualités
Pour les façades extérieures, le revêtement mural sert avant tout à protéger les murs. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il faille en négliger son aspect esthétique. En effet, tous les passants ne rentreront pas dans votre maison. C’est donc bien son aspect extérieur qui lui donnera son caractère et dans tous les cas, la première impression à vos invités.
Vous l’aurez compris, le choix du revêtement est important ! Voici donc quelques possibilités qui s’offrent à vous :
Le crépi
L’enduit le plus classique mais avec sa touche d’originalité puisque désormais il se décline également dans des couleurs peu communes.
Ses différentes techniques de pose serviront à modifier son aspect :
- projeté : finition classique donnant une surface rugueuse,
- écrasé : le crépi est projeté puis écrasé,
- taloché : l’enduit est lissé pour un rendu vieilli et rustique (aspect lisse mais irrégulier),
- gratté: le crépi est projeté puis gratté en cours de durcissement pour un rendu lisse.
Principalement utilisé pour les façades extérieures de par sa protection qu’il offre au mur, il s’invite également à l’intérieur où l’on mettra d’avantage en avant son côté décoratif.
Le parement mural
Les plaquettes de parement permettent de décorer la maison, extérieur comme intérieur, dans un style traditionnel en imitant les briques ou les pierres. Leur relief peut être lisse, à léger ou à fort relief, selon le résultat souhaité tandis qu’un large éventail de couleurs est proposé.
On trouve des plaquettes de parement en divers matériaux : terre cuite, béton (parfait pour l’extérieur), pierres reconstituées, plâtre (grand choix de style car très facile à travailler mais réservé à l’intérieur), bois recyclé,…
Le bardage bois
Composé de lames de bois, ce choix est avant tout esthétique. Son prix pourra varier du simple au double selon le bois choisi. La pose sera également un atout pour créer un style : horizontale, verticale ou oblique. Choisir le bardage bois signifie s’occuper de l’entretien du bois par la suite. Si vous aimez l’aspect sans vouloir cette contrainte, optez pour un bardage imitation bois.
Le bardage PVC
Composé de lames en PVC ou en composite, il peut imiter les matériaux ou rester uni avec plusieurs couleurs à choix. Sa tenue dans le temps est excellente et sans entretien. Il est de plus le bardage le moins coûteux.
Existent également les bardages en pierres, tuiles, briques, ciment ou depuis peu pour les habitations, métalliques. Dans tous les matériaux, les bardages permettent d’isoler par l’extérieur.
La pierre
Ce revêtement très esthétique est le plus cher. Son prix variera selon le type de pierre (granit, pierre taillée,…) et le mode de pose sélectionné.
Le mur végétal
Ce jardin vertical accroché sur un pan de mur commence à faire une timide apparition dans les habitations individuelles.
Tout comme pour les façades extérieures, le choix du revêtement des murs intérieurs est vaste. On peut ainsi déterminer selon chaque lieu de vie le style que l’on souhaite y apporter en tenant compte des contraintes de la pièce (notamment en termes d’humidité ou de risques de salissure) et de son budget.
La peinture murale
La peinture est incontournable dans la déco intérieure. Proposée en diverses matières et couleurs, elle offre de plus le choix de sa finition selon l’effet désiré mais également ses propriétés :
- mate (dissimule les imperfections des murs, non lessivable) ;
- brillante (apporte de la luminosité et par cet effet agrandi la pièce. A appliquer sur une surface totalement lisse) ;
- satinée (polyvalente, elle réfléchit légèrement la lumière et s’entretient facilement).
Dans la cuisine et les salles de bain aussi les murs peuvent être peints pour autant que la peinture soit résistante, lavable (possibilité de passer un petit coup d’éponge humide) voire lessivable (possibilité de frotter avec un produit lavant) et conçue spécialement pour les pièces humides. Pour ces pièces, la finition satinée est recommandée.
L’enduit décoratif
Vous hésitez entre la sobriété de la peinture et une matière plus élégante ? Alors l’enduit décoratif est votre réponse : tout en protégeant les murs il apporte de l’esthétisme en imitant le marbre, la pierre, la brique, le béton ou le tissu. Attention, ce matériau craignant l’eau il convient d’en choisir un plastique et lessivable suivant sa destination.
Le papier peint mural
De retour dans nos intérieurs après une période d’absence car on considérait comme vieillot ce revêtement permettant de masquer facilement les défauts des murs, il nous offre désormais des motifs modernes et une matière résistante.
Il existe plusieurs sortes de papiers peints dont le vinyle qui est résistant et imperméable grâce à sa couche de PVC et l’intissé qui est très épais donc plus solide et avec une meilleure capacité de camouflage des défauts du mur. Ce dernier est plus facile à poser que le papier peint vinyle.
Certains sont à présent lavables et lessivables.
Le carrelage mural
Traditionnel et pratique, ce matériau résiste très bien à l’eau, aux taches et à l’usure tandis que son entretien est très facile. Son principal inconvénient vient de ses joints qui ont tendance à s’encrasser rapidement.
Comme le papier peint, le carrelage a su se renouveler et se décline désormais en une multitude de tailles, motifs, couleurs et finitions. Pour donner une sensation de volume et de modernité, les grands carreaux sont conseillés.
Le lambris mural
Une grande sélection de lambris permet de personnaliser son mur : dimensions diverses, grand choix d’essences (hêtre, érable, chêne,…) et variations dans les finitions : naturel, ciré, peint, vernis ou encore lasuré. Il faut cependant veille à ne pas revêtir entièrement une pièce de lambris ce qui aurait tendance à la rendre plus petite. Ce revêtement à l’avantage de nous permettre d’isoler un mur existant en même temps que l’on prépare sa pose.
Delphine Bec
Sources :
ooreka.fr
www.cotemaison.fr
www.cuisinity.com
www.leroymerlin.fr
par Mistral | Mar 28, 2018 | Actualités
C’est le printemps !
A peine le temps de se réjouir des jours qui s’allongent et des premiers rayons de soleil printaniers que vous vient déjà l’association printemps – nettoyage.
Mais d’où vient cette tradition ?
Il semblerait que la coutume remonte à l’époque des poêles à bois. Nos ancêtres effectuaient un grand nettoyage de leur intérieur avec toutes les fenêtres ouvertes une fois la période de chauffe terminée pour éliminer les résidus de suie accumulés dans les recoins. La tradition est restée d’ouvrir les fenêtres pour laisser sortir les poussières accumulées durant l’hiver.
Elle existe également dans de nombreuses cultures :
- les Chinois nettoient à fond leur demeure lors du passage à la nouvelle année (qui a lieu à la fin de l’hiver) pour démarrer l’année sous de bons auspices,
- les Juifs effectuent un nettoyage rituel lors de leur Pâque pour éliminer toute trace de levain et de miettes de pain,
- les Bulgares brûlent les ordures issues de leur maison la veille de la nouvelle saison,
- les Suédois et les Russes parent leurs fenêtres de rideaux colorés et de fleurs.
Dans chaque culture ce rituel est censé offrir une sensation de purification et de renouveau. D’ailleurs, l’arrivée des beaux jours nous donne naturellement envie d’air frais et de nouveauté.
Quelle que soit la raison pour laquelle vous décidez de vous lancer dans ce grand ménage, cela ne doit en aucun cas être vu comme une lourde tâche qui gâcherait votre début de saison !
En effet, en plus du bienfait pour vos yeux (quelle belle maison rangée !) et pour votre corps avec ce renouveau d’hygiène environnementale, il est prouvé que ranger et laver nettoie également les idées noires. Eh oui, un grand nettoyage est bénéfique sur le plan moral. Nous avons ainsi l’impression de repartir sur de bonnes bases, d’aller vers l’amélioration.
Alors pour que cette tâche soit un réel moment positif on s’organise correctement avant de commencer :
- Avant tout, désencombrer
Rien ne sert de vouloir nettoyer et ranger si l’on ne trie pas avant les objets qui trainent là sans servir depuis des années.
Pour cette première partie inspirons-nous de la tendance au minimalisme. De plus en plus présente, vous en avez sûrement déjà entendu parler. Pourtant, si vous l’avez testée, vous aurez remarqué combien il n’est pas évident d’y arriver et de garder ensuite sa maison rangée. Voici donc quelques conseils :
- le faire de manière réfléchie en pensant à son mode de vie, ses envies, et la place que l’on accorde aux objets dans le quotidien. Seule la prise de conscience permettra que la maison ne se remplisse pas aussitôt.

- se débarrasser du superflu, du non-utilisé-depuis-des-années, du cassé et des objets incomplets, pièce par pièce. On réfléchit ensuite au moyen d’organiser son rangement avec ce qui reste ce qui nous permettra souvent de ne pas acheter de nouvelles boites ou étagères de rangement et même de se débarrasser de quelques-unes.
- ne pas tomber dans le piège du « au cas où ». Une fois votre décision prise, tenez-vous-y. Si un objet n’a pas servi durant plusieurs années il y a peu de risque que vous en ayez subitement besoin.
- ne sous-estimez pas la tâche au risque d’être découragé et de tout abandonner. Désencombrer prend du temps. Autant y consacrer une semaine par pièce et le faire dans la bonne humeur.
- continuez sur votre lancée ! Une fois la maison triée la satisfaction peut faire oublier les sacs et cartons à donner, vendre et jeter stockés dans votre cave ou votre garage. Temporairement pensez-vous ? Mieux vaut s’y mettre tout de suite afin que la maison soit vraiment allégée.
Vous avez fini ? Ou vous débutez ! Car il y a toujours de nouvelles choses qui vont arriver dans votre maison et l’encombrer à nouveau. De plus, le superflu est subjectif. Il se pourrait donc bien que vous y preniez goût et que cette tâche ne soit jamais complètement finie…
- Préparer le terrain
On ouvre les fenêtres pour aérer, on déplace les meubles et on enlève les bibelots afin d’avoir une place nette et vide pour un nettoyage complet.
- Prendre de la hauteur
Même si on serait tenté de commencer par autre chose, la logique veut que le plafond soit le premier propre.
On dépoussière le plafond puis les murs à l’aide d’un plumeau. Si besoin, les murs peuvent en plus être lavés à l’eau et au savon (en s’assurant que le papier peint soit lavable et qu’il n’y a pas de résidu de poussière). On passe ensuite aux fenêtres qu’on veillera à nettoyer toujours dans le même sens et aux rideaux qu’on enlèvera pour les laver à la machine.
- La cuisine
Une des étapes les plus fastidieuses !
On vide et dégivre réfrigérateur et congélateur et on les lave. On nettoie les plaques de cuisson et le four, on lave et détartre les cafetières et les bouilloires, sans oublier de désinfecter la poubelle et de dégraisser la grille de la hotte. Enfin, on vide tous les placards pour trier les ustensiles et la nourriture et réorganiser le tout.
- Les salles de bain
En plus du nettoyage habituel on tente de faire partir les taches récalcitrantes de tartre, nettoyer les joints de carrelage, déboucher les canalisations et les désodoriser. Ce sera également l’occasion de trier les médicaments.
- Les chambres
On nettoie la literie et on aspire le sommier et le matelas afin d’éliminer les acariens. Après avoir laissé les matelas une journée à l’air libre on les remet en effectuant une rotation (tête-pieds, droite-gauche).
- Les pièces à vivre
On aspire et lave fauteuils et canapés, on nettoie et dépoussière chaque meuble, de l’intérieur à l’extérieur et avec soin mais sans eau ni détergent, les appareils électroniques (téléphone, ordinateurs, télévision).
- Les sols
En règle générale le duo aspirateur-serpillère suffit pour tous les types de sol. Les tapis quant à eux pourront être apportés au pressing ou lavés-maison par une shampooineuse. Attention cependant à toujours tester cette méthode sur un coin peu visible du tapis.
Et pour terminer, voici les 5 règles d’or du nettoyage de printemps :
- Les produits nécessaires sont listés (on évite ainsi de se rendre compte en plein ménage qu’il nous manque un essentiel)
- Toute la famille y participe (en répartissant les rôles selon les souhaits et bien entendu les capacités de chacun)
- Les tâches sont planifiées (les objectifs sont établis et on évite ainsi que l’un ne passe la poussière avant que l’autre n’ait secoué les coussins)
- Le soleil est de la partie (on l’a dit le nettoyage de printemps se fait les fenêtres ouvertes !)
- La motivation est entretenue (par exemple avec des pauses café-croissants, repas livré tout prêt,…).
Delphine Bec
Sources :
https://www.deco.fr/entretien-rangement
https://www.enviedeplus.com/maison/nettoyage/article/le-nettoyage-de-printemps
par Mistral | Fév 23, 2018 | Actualités
Durant cette saison de gel et de neige, l’idée d’abriter sa voiture redevient plus présente. Mais que choisir : garage ou couvert ?
Venez vous mettre à l’abri afin d’en savoir plus !
Le garage
C’est un abri fermé par des murs, un toit et une porte.
Il mesure généralement 3 x 6 mètres mais sa taille dépendra de son usage (simple abri pour une ou deux voitures ou avec une partie rangement et/ou atelier de bricolage), du budget et du règlement en vigueur sur le terrain.
Souvent à toit plat, il existe également avec toit à 1, 2 ou 4 pans.
Si le garage est partiellement ou totalement enterré, les murs et le toit seront renforcés selon le terrain et son utilisation. Ainsi, on pourra soit végétaliser son toit soit y créer une place de parc supplémentaire ou un agrandissement pour sa terrasse existante. 
Le choix de la porte de garage sera important. En effet, actionnée plusieurs fois par jour, sa qualité et le fonctionnement de son ouverture devront être fiables.
Pour cela, choisir une porte motorisée peut être un atout malgré son coût. En effet, elle s’ouvrira et se fermera sans à-coups et ralentira avant la fin prolongeant ainsi sa durée de vie. En cas d’obstacle, le mécanisme se bloquera tandis qu’une fois fermée elle se verrouillera renforçant la sécurité. Enfin, côté confort, elle permet de ne plus descendre de son véhicule pour ouvrir ou fermer la porte !
En voici les différents types :
- Porte sectionnelle plafond (sans basculement). Composée de panneaux rigides coulissant dans des rails latéraux, elle se loge sous le plafond du garage ;
- Porte sectionnelle latérale (espace sous plafond libéré). Sans rail ni seuil, elle convient très bien aux garages bas ou avec de grandes poutres.
- Porte basculante (bascule sous le plafond du garage). Avec un design identique à celui d’une porte sectionnelle, son fonctionnement simple en fait une porte durable.
- Porte enroulable à lames aluminium (adaptable à tous types d’ouverture). Elle s’enroule dans un coffre en aluminium fermé ce qui permet d’optimiser l’espace dans et devant le garage.
Si l’accès à la maison se fait également par le garage, il peut être utile d’y intégrer une porte piétonne.
Le garage préfabriqué
Les trois modèles à choix sont le garage en container maritime, le garage modulaire et le garage monobloc en béton.
Le plus économique et le plus rapide à construire est le garage en container. Offrant de base une faible isolation il peut être isolé par l’intérieur si désiré.
Relativement simple à installer le garage modulaire se compose de différents modules à assembler. Il est donc extensible puisqu’on peut en ajouter autant que l’on veut. Ces modules pourront être en bois, aluminium, acier ou béton.
Le garage monobloc en béton est la solution la plus solide et durable. En raison du terrassement et des travaux de fondations nécessaires, sa construction sera plus longue et idéalement réalisée par des professionnels.

Le carport
Cet abri se constitue d’un toit et de poteaux.
Son nom vient de l’anglais : car (voiture) et port (lieu d’amarrage où un véhicule stationne régulièrement).
Il peut être équipé de cloisons ou de murs, jusqu’à trois et sans porte. Au-delà il s’agit d’un garage.
Son toit peut être plat, à 1 ou 2 pans, avec des colombages ou celui de la maison si le couvert y est accolé.
Grâce aux nombreux choix de tailles, styles, finitions et matériaux (bois, métal ou aluminium), toute construction, ancienne comme moderne, peut trouver son modèle lui convenant
Cette alternative au garage traditionnel est de plus en plus choisie en raison de ses nombreux avantages :
- Son prix, généralement deux à trois fois plus bas que celui d’un garage.
- Son accès facile dû à son absence de porte. Y prendre et y laisser sa voiture est aussi facile et rapide que sur un parking, l’abri en plus.
- Sa taille. Il peut être plus petit qu’un garage car sans murs ni cloisons il ne faut compter aucune distance pour ouvrir les portières de la voiture.
- Sa protection. Tout comme le garage il protège contre le soleil, la pluie, le givre et la neige mais en plus son risque de rouille est moindre grâce à l’air qui peut y circuler librement contrairement à dans les garages fermés où l’humidité présente forme de la condensation.
Et ses points négatifs ?
Le carport n’offre aucune sécurité par rapport au garage qui est fermé et dont la porte peut être verrouillée. Pour abriter des affaires ou une voiture de plus grande valeur mieux vaut donc se tourner vers un garage. Sa protection contre le givre est également moindre s’il n’est pas contre la maison et ne dispose d’aucune paroi.
Uninorm
Pour les garages extérieurs nous collaborons avec Uninorm, forts de leurs 40 ans d’expérience.
Leurs garages préfabriqués en béton armé bénéficient d’un certificat de haute qualité et d’un contrôle technique. La livraison et la pose se font par leurs spécialistes puis l’utilisation peut être immédiate.
Leurs garages simples et doubles peuvent être avec toit-terrasse, charpente ajoutée à 1 ou 2 pans ou toiture personnalisée adaptée à la villa.
De plus, ils sont préfabriqués mais personnalisables grâce à la couleur du crépi extérieur adaptée à celle de la villa et à leurs diverses options (fenêtre, installation électrique, entrainement automatique,…).
Leurs portes sectionnelles sont certifiées selon les normes européennes actuelles et correspondent à la technique la plus moderne ce qui garantit sécurité, confort et longévité avec peu de frais d’entretien.
Delphine Bec
Sources :
http://www.carportgarage.fr
http://www.soprofen.fr/particulier/portes-de-garages/domotique-portes-de-garage
http://fr.uninorm.ch/
par Mistral | Jan 8, 2018 | Actualités
Contrairement à l’idée que l’on s’en fait, aménager et décorer son salon afin qu’il soit pratique et convivial n’est pas toujours facile en raison de sa place centrale dans la maison et de sa multifonctionnalité. En effet, dans ce lieu on lit, on travaille, on mange, on joue, on discute et on se repose…
Si le nombre de ces activités est important, l’une des pistes pour un aménagement idéal est de les lister en pensant aux habitudes de vie de chaque habitant puis, sur un schéma, de les disposer par zone. On y notera ensuite ce qui est nécessaire pour chacune de ces activités telles que les prises ou les sources lumineuses ce qui dirigera le placement des zones dans la pièce. Bien entendu, une zone pourra servir à plusieurs activités. En dernier lieu, on notera pour chaque activité de quel mobilier nous avons besoin en pensant à combien de personnes s’y côtoient et quand. On prévoira par exemple un espace de jeu au sol pour les jeunes enfants, une table au plus près de la cuisine si un repas est pris dans cette pièce et pourquoi pas un meuble à côté pour y ranger la vaisselle.
Afin de rendre son salon plus spacieux et plus pratique et éventuellement de le désencombrer, on tâchera de réduire au maximum les objets ne servant que pour une activité.
Maintenant, nous pouvons commencer l’ameublement du salon. Attention cependant, avant de penser aux meubles imposants, tournons-nous d’abord vers les petits « détails » de la pièce : décrochements, prises, portes, fenêtres, radiateurs, qui mis ensemble peuvent devenir de vraies contraintes dans la disposition du mobilier.
Le canapé
Élément principal et généralement le plus imposant de la pièce, il doit être placé en tout premier. C’est son emplacement qui déterminera le reste de l’aménagement. Il sera positionné contre un mur (idéal pour le gain de place) ou en travers de la pièce, appuyé ou non contre un autre meuble, pour servir de séparation entre deux espaces distincts (salon et salle à manger par exemple). Idéalement on le placera près d’une fenêtre. 
Son orientation sera choisie d’après l’entrée de la lumière dans la pièce et du point vers lequel on souhaite porter l’attention (table basse, belle vue, cheminée, espace détente ou télévision).
Pour le positionnement des autres meubles par rapport au canapé :
- Dans un espace restreint, il fera face à une ou deux assises telles que fauteuils, poufs ou coussins à même le sol. Les autres meubles seront multifonctions (table basse avec rangements, bibliothèque en guise de cloison,…).
- Pour créer un cocon, l’orientation se dirigera vers un point d’attention comme la cheminée. L’espace entre les différents éléments sera limité au minimum (environ 60 cm).
- Pour un salon convivial, plusieurs fauteuils voire un deuxième canapé seront positionnés en face du canapé principal pour créer un espace de conversation.
Quelle que soit la disposition choisie on veillera à ne pas oublier l’espace de circulation.
La table basse
Au cœur du salon elle est un élément clé de cette pièce. En effet, alliant pratique et déco, elle peut également faire office de rangement.
La table à manger
On la repère facilement dans le salon en raison de la place qu’elle prend. Cependant, avec le quotidien elle devient souvent très encombrée. Afin de garder un beau décor on y déposera au centre un joli vase, une corbeille de fruits ou quelques bougies.
La télévision
Même si elle est devenue un point central dans la plupart des salons, on l’oublie un instant pour se concentrer sur les autres habitudes que l’on a en famille ou entre amis dans cette pièce. C’est seulement une fois après avoir imaginé un schéma pour disposer les autres meubles selon ces habitudes, que l’on y intègrera la télévision de manière intelligente, tout en veillant à ce qu’une bonne distance la sépare du canapé.
Les lumières
En raison de la multifonctionnalité du salon, il convient de multiplier les sources de lumière. Elle doit en effet y être abondante du matin au soir. L’idéal est donc de choisir l’emplacement de son salon au sud, si possible avec de grandes ouvertures.
La lumière principale sera une suspension, un grand lampadaire ou des spots. Des luminaires complémentaires pourront être adaptés à chaque activité : liseuse à côté du canapé, lampadaire près du coin jeux, petite lampe sur la cheminée…
Le tapis
Il peut rehausser la décoration de la pièce en appuyant sur le style donné et préserver l’atmosphère douce, chaleureuse et confortable du salon. Les rideaux permettront de renforcer encore cet effet. Selon la saison, le tapis pourra être de coton coloré ou en laine dans des tons neutres.
Les coussins
Confortables, ils apportent également une touche déco à la pièce. On ne lésine donc pas sur les coussins disposés sur le canapé en multipliant les tailles, couleurs et matières. Ils pourront être changés suivants les saisons (couleurs vives et tissus légers en été, couleurs neutres et tissus doux et molletonnés en hiver). 
La décoration
Tout en étant convivial, le salon est également intime. Cet endroit étant à la fois la face visible de notre habitation et le cœur de la maison, la décoration y a une place importante.
Pour qu’il nous ressemble, on liste les couleurs et les matières que l’on aime, les assises dans lesquelles on se sent bien (chez des amis, au café,…) avant de faire notre choix.
Le salon est une pièce de vie. On y apporte donc de la couleur par petites touches en misant sur l’originalité placée à des endroits inattendus pour ne pas se lasser.
Pour les objets déco on choisit en fonction des meubles qui apportent déjà son identité à la pièce. Parfois, un accessoire suffit à apporter du caractère à une pièce.
Les étagères peuvent être un bon compromis entre rangement et déco si on y place certains objets visuels.
On finalise le tout par quelques photos, tableaux ou affiches au mur et, pour s’y sentir bien et apaiser l’ambiance, on y fait entrer la nature avec des plantes et quelques illustrations naturelles.
Delphine Bec
Sources :
www.cotemaison.fr
www.pratique.fr